G.S. Kabuga est l'une des 3 388 écoles du Rwanda bénéficiant d'efforts de reconstruction et de rénovation, financés par le gouvernement et la , avec des fonctionnalités d'accessibilité pour les apprenants handicapés. Malgré les revers mondiaux provoqués par la pandémie, des progrès significatifs ont été réalisés dans le respect des 10 engagements identifiés lors du .
Groupe de la Banque mondiale
Les autorités caboverdiennes se sont associées à la pour entreprendre une tâche ambitieuse : vacciner en toute sécurité des centaines de milliers d’habitants dans tout l'archipel aussi rapidement et efficacement que possible, afin de relancer l'activité économique - et notamment le tourisme, vital pour le pays - au plus vite.
Selon la , la hausse des prix des denrées alimentaires et de l’énergie et les pénuries d’approvisionnement provoquées par la guerre en Ukraine auront des effets douloureux immédiats pour les économies à revenu faible et intermédiaire.
Un nouveau rapport de la Banque mondiale se penche sur les conséquences de la crise sur les économies émergentes et propose un ensemble de politiques visant à atténuer les risques financiers et à orienter les économies vers une reprise durable et équitable.
Comment le Groupe de la Banque Mondiale mesure-t-il la pauvreté ?
La lutte contre l'extrême pauvreté est au cœur de la mission du Groupe de la Banque mondiale. À l'heure où la pandémie de COVID-19 fait des ravages dans le monde entier, cet objectif a pris une nouvelle dimension. Mais la première étape pour réduire la pauvreté est de la mesurer.
Du fait des plans de relance, le financement des secteurs des infrastructures est en hausse, mais l'activité d'investissement dans de nouveau projets reste faible dans tous les secteurs industriels.
Après avoir rebondi en 2021, la croissance mondiale devrait nettement ralentir en 2022, reflétant les recrudescences de la COVID-19, la réduction des mesures de soutien budgétaire et de problèmes d'approvisionnement persistants.
Des inégalités de la reprise économique à celles de l’accès aux vaccins, en passant par l’aggravation des pertes de revenus et le creusement des écarts d’apprentissage, la COVID-19 a pénalisé de manière disproportionnée les populations pauvres et vulnérables en 2021. Elle inflige de graves reculs au développement et porte un coup dur aux efforts visant à mettre fin à l’extrême pauvreté et à réduire les inégalités. À travers cette série de graphiques, la Banque mondiale propose un tour d’horizon des études qui illustrent la gravité de l’impact de la pandémie alors qu’elle entre désormais dans sa troisième année.
Les envois de fonds vers les pays à revenu faible et intermédiaire devraient connaître une forte augmentation de 7,3 % et s’élever à 589 milliards de dollars en 2021, selon la Banque mondiale.
Selon les premières données d’un rapport à paraître de la Banque mondiale, la pandémie de COVID-19 pourrait faire bondir jusqu’à 70 % la proportion d’enfants de 10 ans des pays à revenu faible et intermédiaire en situation de pauvreté des apprentissages, c’est-à-dire dans l’incapacité de lire un texte simple. Cette augmentation est la conséquence de fermetures prolongées des écoles et de la médiocrité des résultats éducatifs malgré les efforts déployés par les gouvernements pour assurer un enseignement à distance. Dans bon nombre de ces pays, les établissements scolaires ont été fermés pendant 200 à 250 jours et beaucoup d’entre eux n’ont toujours pas rouvert leurs portes.
Quand on évoque les migrations climatiques, on pense souvent d’abord à des populations qui, pour échapper à l’élévation du niveau de la mer ou à la désertification, sont contraintes de quitter leur pays. C’est juste, dans une certaine mesure, mais, en réalité, la grande majorité des migrants climatiques se déplacent à l’intérieur des frontières de leur pays. Selon les conclusions du nouveau rapport Groundswell publié par la Banque mondiale, le monde pourrait compter jusqu’à 216 millions de migrants climatiques internes d’ici à 2050.
Découvrez les piliers du nouveau du Groupe de la Banque mondiale.
Avant la crise planétaire de la COVID-19, 51 % soit un peu plus de la moitié de la population mondiale avait accès à l’Internet. Ce taux ne dépasse guère 30 % pour les pays d’Afrique occidentale et centrale. La crise sanitaire a révélé l’impérieuse nécessité d’un accès démocratique et équitable à une connectivité de haut débit abordable et sécurisée. L’enjeu est donc considérable et les opportunités significatives. Bien que les défis ne sont pas à sous-estimer, le potentiel dont dispose la sous-région de l’Afrique occidentale et centrale permet d’espérer une accélération de la numérisation de son économie.
Parlez-nous, en vidéo ou en photo, de 3 actions que votre pays ou communauté pourrait entreprendre pour construire un avenir plus vert et plus inclusif !
La COVID-19 fait le plus de mal aux personnes — et dans les lieux — qui peuvent le moins faire face. Alors même que les nations les plus riches commencent à retrouver le chemin de la prospérité et un semblant de normalité, la pandémie continue de faire des ravages dans les pays les plus pauvres. Pour ces derniers, il n’existe aucun signe de « reprise » mondiale. En 2021, leur taux de croissance sera le plus faible depuis 20 ans (abstraction faite de l’année 2020), ce qui aura pour effet d’éliminer des progrès accomplis dans le cadre de la lutte de la pauvreté des années durant.