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Dans ce nouvel épisode d’ONU Info Genève, nous revenons sur les Geneva PeaceTalks, organisés aux Nations Unies à Genève, en amont de la Journée internationale de la paix (21 septembre).

Notre invitée, Guila Clara Kessous, Artiste pour la paix de l’UNESCO, metteuse en scène, narratrice et engagée de longue date pour les droits humains, milite pour que les femmes, l’art et la société civile soient pleinement intégrés dans les processus de paix.

« Quand on n’arrive plus à parler, on danse, on chante, on crée… ��’art n’est pas un luxe, c’est une nécessité pour la paix », dit-elle.

Elle y a présenté son concept d’« entrepreneuriat diplomatique » et défend une résolution ambitieuse pour instaurer des quotas de femmes dans toutes les négociations internationales de paix.

Dans la Réserve de biosphère de Vhembe, en Afrique du Sud, les communautés combinent savoir traditionnel et science pour mieux comprendre et prévenir les conséquences des changements climatiques.

Dans les Caraïbes, une région très vulnérable au changement climatique et aux risques naturels, l'UNESCO renforce les capacités des médias en matière d'information sur le climat et de préparation aux catastrophes, grâce à l'assistance technique et au développement des capacités.

L'UNESCO a réuni deux des dernières communautés de chasseurs-cueilleurs d'Afrique afin de tester l'application CyberTracker, qui combine les connaissances autochtones et la technologie numérique.

Au Cameroun, 3 000 foyers sans accès à l'électricité ont reçu des kits solaires conçus pour réduire leur dépendance au bois de chauffage, améliorer leurs conditions de vie et contribuer à la protection des écosystèmes.

Dans la région du Nord Cameroun, autrefois marquée par une absence généralisée d’éclairage, l’accès à l’énergie solaire constitue aujourd’hui un vecteur tangible de progrès.

La Bretagne à l'honneur sur le parvis du Siège de l'UNESCO à Paris ! À l’occasion de l’inscription des sur la Liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO, le bagad de Carnac, Arvorizion, a fait résonner les sons emblématiques de la musique traditionnelle bretonne. Cornemuses, bombardes, percussions : une orchestration vivante au cœur du .
 

Les forêts humides de l'Atsinanana à Madagascar étaient menacées par une forte pression sur leur biodiversité. Elles ne figurent plus sur la Liste du patrimoine mondial en péril, illustrant le pouvoir de la coopération internationale et de l'engagement local.

La 47e session du Comité du patrimoine mondial s’est achevée à Paris avec l’inscription de 26 nouveaux biens culturels et naturels sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Cette année encore, le patrimoine africain a été mis à l’honneur, avec l’inscription de 4 nouveaux sites du continent et le retrait de trois autres de la Liste en péril. « Faire de l’Afrique une priorité n’est pas un geste symbolique. C’est un engagement concret, de tous les jours et du temps long, porté par l’idée que le continent doit être reconnu à la hauteur de son importance historique, culturelle et naturelle », souligne la Directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay.

Partagez vos expériences, vos défis et vos priorités en matière de langues autochtones à travers cette enquête mondiale !

Retour sur la Conférence internationale de l’UNESCO sur le patrimoine culturel en Afrique, organisée  en mai 2025 à Nairobi, au Kenya, afin de redéfinir la manière dont le patrimoine est compris et géré sur l’ensemble du continent. 

Le Comité du patrimoine mondial de l'UNESCO a décidé de retirer trois biens situés à Madagascar, en Égypte et en Libye de la Liste du patrimoine mondial en péril. Ces retraits sont le fruit de larges efforts pour réduire considérablement les menaces pesant sur ces sites.

À la Conférence de Séville, en Espagne, sur le financement du développement, une haute responsable de l'UNESCO, Stefania Giannini, rappelle que l’éducation est bien plus qu’un droit fondamental : c

��’UNESCO a formé 30 journalistes d’Afrique de l’Est aux défis de la couverture environnementale, dans un contexte marqué par la désinformation et la censure.

��’UNESCO présente la toute première cartographie de l’industrie du livre en Afrique, révélant un secteur riche en potentiel aujourd’hui inexploité. Intitulée , cette analyse approfondie montre que le continent dispose de tous les atouts pour développer un secteur lucratif et créateur d'emplois. « Ce nouveau rapport de l'UNESCO démontre la nécessité de renforcer les politiques publiques pour le livre et la lecture afin que les histoires africaines puissent être écrites, publiées et lues. Il faut ainsi investir pour entrainer le continent dans le sillage de ses grands auteurs et de ses talents », souligne la Directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay.