Les espaces sécurisés offrent des services essentiels aux femmes et aux filles en cette période de conflit, de pandémie et de dévastation économique que connaît le Yémen. Ces espaces aident les plus vulnérables, notamment les femmes et les filles déplacées. Salwa, 35 ans, a survécu au mariage d’enfant, à trois maris abusifs et à des années de conflit. Seulement quelques mois après avoir rejoint un espace sécurisé pour femmes, elle a appris à coudre et se construit une nouvelle vie.
Femmes et égalité femmes-hommes
ONU Femme a rencontré Maya Tutton, fondatrice d'une campagne pour revendiquer le droit des femmes et des filles de se sentir en sécurité dans l'espace public au Royaume-Uni.
Des centaines de personnes s'étaient rassemblées à Janakpur, au Népal en décembre 2019, quelques mois avant la pandémie de COVID-19, afin de participer à une marche pour les droits des femmes. La pandémie de COVID-19 a profondément bouleversé nos sociétés.
Découvrez ces 7 femmes incroyables qui s’opposent à l’oppression et à la discrimination, et qui ouvrent la voie à un meilleur avenir pour tous.
Apande Dut est membre d’un groupe d’agriculteurs, composé en majorité de femmes, à Rumbek, au Soudan du Sud. Jusqu’en 2018, Apande et son amie Agok, membre de la même communauté, travaillaient chacune de leur côté, mais leurs connaissances agricoles étaient limitées et, dans des conditions de production aussi difficiles, elles n’arrivaient jamais à produire suffisamment. Dans le cadre des séances de formation organisées par la FAO, les membres du groupe ont reçu des outils agricoles, des informations et une initiation à l’agronomie et à la gestion, ce qui s’est traduit par une hausse de la production et une diversification des produits.
Chaque jour, des centaines de milliers de filles à travers le monde subissent des préjudices physiques ou psychologiques – ou les deux. Leur famille, leurs amis et leur communauté le savent et y consentent. Ces pratiques réduisent et limitent leur capacité à participer pleinement à la société ou à se développer et à s’épanouir sans entraves, souligne le rapport du Fonds des Nations Unies pour la population.
L’Agence internationale de l’énergie atomique () a décerné une bourse à 100 étudiantes du monde entier, premières bénéficiaires d’une nouvelle initiative dont le but est de contribuer à réduire l’écart entre les sexes dans les domaines de la science et de la technologie nucléaires. Ces 100 premières boursières ont été choisies parmi plus de 550 candidates originaires de plus de 90 pays.
La pandémie de COVID-19 menace d’effacer les gains obtenus sur le plan des possibilités économiques offertes aux femmes, creusant les écarts qui persistent entre les sexes en dépit de 30 ans de progrès. Toutefois, des politiques publiques bien conçues pour favoriser la reprise peuvent atténuer les conséquences négatives de la crise sur les femmes et prévenir de nouveaux revers pour l’égalité entre les femmes et les hommes, explique le blog du Fonds monétaire international (FMI).
La crise de développement humain déclenchée par la COVID-19 menace la lutte pour l'égalité des sexes. Les effets immédiats de la pandémie se manifestent déjà sous différentes formes, de la santé et l'éducation aux tâches domestiques non rémunérées et aux violences basées sur le genre.
Pour améliorer la sécurité alimentaire et faire progresser le développement économique et social de la Gambie, il est crucial de renforcer le réseau de petites routes de desserte, car ces routes contribuent à créer des possibilités d’emploi, y compris pour les femmes et les jeunes. Plus de 200 femmes des communautés locales ont travaillé sur les chantiers de construction d’un projet visant à améliorer ces routes d’accès.
La pandémie de COVID-19 a généré une crise sanitaire, humanitaire et de développement sans précédent à travers le monde mais a également révélé l’efficacité du leadership des femmes, selon la Vice-Secrétaire générale des Nations Unies, Amina Mohammed.
Le Fonds des Nations Unies pour la population rappelle les besoins et vulnérabilités particulières des femmes et des filles pendant la pandémie de COVID-19, ainsi que les efforts nécessaires pour assurer leur santé et garantir leurs droits.
Près de 42 % des filles au Malawi sont mariées alors qu'elles sont encore enfants, selon des . Les choses ont commencé à changer il y a 4 ans, lorsqu'un programme pour garantir la scolarité des filles a été mis en place dans la communauté locale.
Partout dans le monde, la pandémie de COVID-19 a chamboulé des vies. Nous savons que les personnes les plus touchées sont celles les plus démunies, notamment les réfugiés et les personnes déplacées. Dans le monde, un réfugié sur deux est une femme ou une jeune fille. fait entendre la voix des femmes réfugiées qui ont été en première ligne face à la pandémie et qui connaissent, mieux que quiconque, les besoins spécifiques de leurs communautés.
La perte d'un conjoint est un événement dévastateur. Pour de nombreuses femmes dans le monde, en particulier dans les pays en développement, cette perte est amplifiée par un combat de longue haleine pour subvenir à leurs besoins fondamentaux, pour faire respecter leurs droits humains et leur dignité. La pandémie de COVID-19 est venue aggraver la situation au cours des derniers mois, entraînant avec elle de nombreux décès, et faisant de nouvelles veuves, au moment même où ces femmes risquent d’être privées d'un important soutien socio-économique et familial. Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, les veuves ne doivent pas être exclues de notre travail qui visera à « reconstruire en mieux ».