Les violences sexuelles liées aux conflits font partie des crimes les moins souvent signalés et leur dénonciation a été rendue encore plus difficile avec la pandémie de COVID-19. La maladie a limité la possibilité pour les victimes et les personnes rescapées de dénoncer ces actes et elle a aussi aggravé les obstacles structurels, institutionnels et socioculturels aux signalements. La Journée internationale pour l'élimination de la violence sexuelle en temps de conflit (19 juin) vise à sensibiliser à la nécessité d'y mettre un terme, à manifester de la solidarité envers les victimes et à rendre hommage à celles et ceux qui luttent en première ligne pour éliminer ces crimes.
Femmes et égalité femmes-hommes
Célébrée le 29 mai, la Journée internationale des Casques bleus de l’ONU rend hommage au personnel civil, policier et militaire pour sa contribution inestimable au travail de l’ONU. Cette année, elle met en lumière le rôle des femmes dans le maintien de la paix, afin de célébrer le 20e anniversaire de l’adoption de la . Les femmes Casques bleus apportent une contribution inestimable au maintien de la paix. Elles permettent d’améliorer l’efficacité des missions, ont un plus grand accès aux communautés locales, en particulier aux femmes et permettent de cette façon une meilleure promotion des droits de l’homme et de la protection des civils.
Les femmes et les filles exposées à un risque de fistule obstétricale étaient déjà confrontées à d’importants obstacles pour accéder à des soins de santé avant la pandémie de COVID-19. Aujourd’hui, à l’heure où de nombreux pays peinent à faire face à la maladie à coronavirus, les services de santé sexuelle et reproductive risquent d'être négligés. La fistule obstétricale est l’une des lésions les plus graves et les plus dangereuses susceptibles de survenir lors d’un accouchement. La Journée internationale pour l'élimination de la fistule obstétricale (23 mai) nous rappelle qu'il faut plus que jamais éliminer la fistule.
L'UNICEF a salué la décision historique du gouvernement de transition au Soudan de criminaliser les mutilations génitales féminines (MGF) et l’excision. Le Soudan est en effet considéré comme l'un des pays où le taux de prévalence de cette pratique est très élevé, allant jusqu’à 86,6% en 2014.
Inclure les besoins des femmes dans la réponse à la COVID-19
Les dirigeants du monde entier ne doivent pas oublier les dynamiques de genre dans la réponse à l’épidémie, en prenant en compte notamment les besoins des femmes en première ligne dans la lutte contre la COVID-19.
La (23 avril) a été instituée pour encourager les filles et les jeunes femmes à tirer parti du formidable potentiel que recèlent les carrières du secteur de l’informatique et des communications. La situation inédite dans laquelle nous met la pandémie de COVID-19 démontre aujourd’hui que l’informatique et les communications sont vitales pour nos sociétés, rappelle le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres dans publié à l'occasion de cette journée internationale.
La pandémie du COVID-19 n’est pas seulement un enjeu sanitaire. C’est un choc profond pour nos sociétés et nos activités économiques, et les femmes sont au cœur des initiatives prises actuellement pour dispenser des soins et prendre différentes mesures. En tant qu’intervenantes de première ligne, de professionnelles de la santé, de bénévoles communautaires, de responsables de services de transport et de logistique, de scientifiques et de bien d’autres fonctions, les femmes apportent tous les jours des contributions cruciales pour lutter contre l’épidémie.
La pandémie du COVID-19 n’est pas seulement un enjeu sanitaire. C’est un choc profond pour nos sociétés et nos activités économiques, et les femmes sont au cœur des initiatives prises actuellement pour dispenser des soins et prendre différentes mesures. ONU Femmes est en train de mettre à jour les informations et les analyses sur la façon dont les questions de genre comptent dans la réponse au COVID-19.
La est organisée tous les ans à la date du 1er mars par le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA). Cette journée est universelle et ne se limite pas au VIH ou aux problématiques de santé. 2020 est une année importante pour les femmes et les filles. Elle est émaillée de rencontres de haut niveau telles que la , en mars. Les discriminations et les inégalités entre les sexes entravent fortement la vie des femmes et des filles, mais aussi la riposte au sida.
Kiara Nirghin, âgée de 19 ans, est étudiante, scientifique et militante dans le domaine des STIM. En 2016, elle a remporté le prix du Google Science Fair, une compétition scientifique internationale, pour ses travaux sur une méthode permettant d’accroître la sécurité alimentaire dans les régions touchées par la sécheresse.
L’urbanisme et l’aménagement urbain façonnent notre environnement, lequel détermine nos modes de vie, de travail, de loisir, de déplacement et de détente. Comment concevoir et aménager des villes faites pour tous ?
Pendant des siècles, les femmes ont largement contribué à la science. Elles ont découvert des remèdes qui ont permis de sauver des vies, mis au point des inventions qui ont bouleversé le monde, et mené à bien des études d’une portée considérable. Mais, dans de nombreux cas, leurs significatives avancées sont minimisées, voire négligées.
Depuis longtemps, les préjugés et les stéréotypes de genre éloignent les filles et les femmes des domaines liés à la science. Selon l’UNESCO, à l’heure actuelle, . Le 11 février, à l'occasion de la Journée internationale des femmes et des filles de science, rejoignez-nous pour célébrer les femmes et les filles qui mènent l'innovation et appelons à des actions pour éliminer les obstacles qui pourraient les en empêcher.
Dans l’est de l’Iran, Fatemeh subvient aux besoins de ses enfants grâce à la vente de biscuits. Ce qui n’était qu’un moyen de joindre les deux bouts s’est transformé en une biscuiterie créatrice d’emplois pour d’autres femmes.
En 2020, 4,1 millions de filles dans le monde risquent de subir des mutilations génitales féminines. Les filles qui subissent des mutilations génitales féminines font face à des complications à court terme, telles que des douleurs intenses, des saignements excessifs, des infections et des difficultés à uriner, ainsi qu'à des conséquences à plus long terme pour leur santé sexuelle et reproductive et leur santé mentale. L’objectif de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (6 février) est d’intensifier les efforts internationaux visant à éliminer cette pratique.